Les grandes écoles, les universités et les infrastructures de Lyon font de cette ville une des villes les plus attractives de France. De ce fait, de nombreux habitants décident de s’y habiter. Certaines choses ont évolué sur le plan du marché après la crise sanitaire.
L’augmentation du prix de logement dans le Rhône
La crise sanitaire n’a pas eu d’impact sur le prix de logement. Il en est de même sur le taux des ventes. Par contre, cela a changé le désir chez les acheteurs. L’ajout d’un extérieur, d’un garage et d’un abri pour vélos est devenu les éléments les plus recherchés pour eux. Il faut dire que ces critères contribuent à l’augmentation considérable de la valeur des biens.
Les logements les moins chers se situent dans le IXe arrondissement tandis que les plus coûteux sont dans le IIe. Les ventes de logement se situant près de Lyon sont très actives. Ce besoin implique l’augmentation du coût des maisons de 9 % et des appartements de 4 %.
Les impacts sur le taux d’intérêt dans le Rhône
Les taux ont connu une régression constante en France, cette diminution va jusqu’à 1,6 %. Les transactions se portent mal avec des taux de crédits très bas pendant 2020. En 2021, Nicolas Fraioli prévoit une augmentation de ce taux grâce au réajustement du gonflement. L’étendue d’emprunt a été élargie pour aboutir jusqu’à 21 ans et certaines règles ont été endurcies afin d’augmenter le taux d’intérêt.
« À la vente, nous sommes sur un plateau haut, aussi bien au niveau des volumes que des prix. Les conditions d’octroi de crédit plus difficiles et la hausse des taux d’intérêt sont source d’inquiétudes. Sur le marché de la location, nous serons attentifs aux effets de l’encadrement des loyers à Lyon et à Villeurbanne », a conclu Nicolas Bouscasse.