Capucine Desforges
En économie, l’investissement est le seul moyen de faire accroître son capital. Un investissement peut très bien être rentable comme il peut engendrer de lourdes pertes. Il est donc indispensable de bien calculer la rentabilité. Investir dans l’or et dans l’immobilier est le plus recommandés mais lequel choisir ?
L’or, un placement assuré
Conformément aux histoires, l’or a toujours été le placement préféré des investisseurs. Cette notoriété lui doit à sa sécurité, car elle reste l’investissement le plus stable. Même si des crises économiques ou financières parviennent à apparaître, il est peu probable que l’or perde en valeur.
Dans les années 2018 et 2019, la valeur de celui-ci n’a fait qu’augmenter sur le marché international : une hausse de 32 % pour les lingots à 1Kg contre 29 % pour l’once d’or.
Toute personne ayant un minimum de fonds pourrait facilement placer dans ce métal parce qu’investir dans de l’or ne nécessite pas d’énorme budget. Une centaine d’euros suffirait pour acheter des pièces ou des lingots.
L’immobilier, un placement facilité
L’investissement dans un bien immobilier peut être fait à crédit. Les banques offrent en effet des crédits ou prêts immobiliers avec un taux d’intérêt plus ou moins rentable. C’est également le seul placement pouvant vous faire bénéficier de « l’effet de levier ».
Les investissements locatifs sont les plus avantageux, car le remboursement de vos crédits pour l’acquisition du bien pourrait devenir entièrement payé par les locataires. Leur versement mensuel, journalier, quotidien contribue au remboursement de l’emprunt.
Cet investissement résiste pour du long terme. Le bien reste et peut être laissé comme patrimoine pour les descendants. Tout comme un bien immobilier est une garantie pour la retraite. Après que les prêts soient totalement remboursés, les loyers émanant de la location vous reviennent en intégralité.
Le seul problème est que ce secteur reste facilement déstabilisable. Lors des crises, le prix des logements pourrait baisser tout d’un coup.
