Même avec un service efficace, les livreurs sont actuellement privés de leur outil de livraison. Quelles peuvent être les raisons de cette interdiction ? Cet article va vous donner plus d’informations sur ce sujet.
Pourquoi cette interdiction ?
Le service Véligo met en location 6 à 9 mois des vélos à batterie électrique avant que les utilisateurs en achètent un. Cette location permet de tester l’importance des vélos dans la vie quotidienne d’une personne. En seulement quelque temps, l’offre a connu un énorme succès. Plus de 30 000 personnes ont fait appel au service de location de cet outil électrique auprès de Véligo.
Cependant, le produit Véligo ne fascine pas que les utilisateurs particuliers. Les travailleurs comme les livreurs se sont aussi jetés sur la proposition. Les vélos à batterie électrique facilitent leur travail quotidien. En effet, le prix de location de cet outil électrique est très abordable, car il revient à 40 € par mois. Il est de 80 € par mois pour les modèles rallongés.
D’ailleurs, le problème est le fait que cet outil électrique n’est pas destiné aux livreurs. Par conséquent, la « Région Île-de-France » a pris la décision de changer le règlement. La nouvelle règle défend dorénavant de franchir les « 300 km et les 70 trajets par semaine » sur un vélo électrique. C’est pourquoi les livreurs doivent disposer d’une autre façon pour exercer leur fonction.
Un projet adressé à une activité professionnelle ?
Les équipes Vélib ont certainement constaté que 1 % des utilisateurs effectuait 10 % des courses pour un usage professionnel. Cependant, ce vélo électrique est principalement réservé aux individus tels que : les étudiants, les sociétés ou les collectivités. De toute façon, la société n’a en aucun cas mentionné les livreurs.
En outre, Vélib a affirmé la possibilité de créer un projet dédié uniquement aux professionnels tels que les livreurs. Mais, l’entreprise n’a pas la flotte suffisante pour soutenir cet usage. En revanche, elle affirme que de nouveaux services sont en pleine évolution pour satisfaire ses clients. Il se peut donc que les livreurs profitent d’un nouvel outil électrique prochainement pour effectuer leur travail. Mais en attendant, l’usage des vélos à batterie électrique reste interdit aux livreurs.