Le Livret A est un placement dont l’État fixe le taux, le fonctionnement ainsi que le plafond. Le compte épargne de ce placement très connu et le plus fréquentable est accessible à tout le monde. Pour ses épargnants, la sécurité est assurée.
À propos du Livret A
Le Livret A existe depuis 204 ans. Au début, ce sont les caisses d’épargne qui se chargent de la distribution. Mais en 2022, toutes les banques peuvent proposer le Livret A à ceux ou celles qui veulent faire une épargne. En revanche, un critère d’âge se pose pour faire un retrait. En outre, une somme minimum sera acquise pour poser ou retirer de l’argent.
Ce placement offre plusieurs avantages. Cependant, il ne dispose ni chèque ni carte bancaire à avoir. Quant à l’individu, il est autorisé à n’avoir qu’un seul compte.
Lors d’une révision, son taux d’intérêt a augmenté en février 2022. Concernant les ressources obtenues, elles sont systématiquement centralisées vers la Caisse des dépôts et consignations. Elles financent également le renouvellement urbain ainsi que le logement social.
Des limites se posent
Pour les particuliers, le plafond des fonds est de 22 900 euros environ, excepté les intérêts capitalisés. Dès que cette somme maximale est atteinte, un retrait est préalable avant les nouveaux dépôts. Si un compte contient plus que ce plafond indiqué, c’est sûrement dû aux intérêts. Cela a commencé depuis l’année 2013.
Pourtant les associations ont le privilège de verser 76 500 euros maximum, sans la capitale des intérêts. Pour d’autres placements alternatifs, ils ont leurs propres limites. Les HLM ne sont pas touchés par cette sorte de limite.
L’engagement de François Hollande
Pendant l’élection présidentielle en 2012, le plafond autorisé sur le Livret A était de 30 600 euros. Lors de cette période, François Hollande a pris un engagement de le doubler. Il a communiqué en février que les deux tiers des recettes obtenues par ce doublement de plafond auront un impact sur les logements sociaux.
Ce fameux doublement est réalisé deux fois, la première était en mois d’octobre 2012, avec une augmentation de 25 %. La seconde était en janvier 2013, avec le même haussement. L’objectif n’était pas atteint et le gouvernement prit une autre tournure.