Un éboulement a été signalé aux autorités dans la nuit du samedi 5 et du dimanche 6 mars. De nombreuses roches sont tombées depuis la falaise qui est toujours instable. Les blocs de pierres géantes ont envahi la voie SNCF et la D74 qui relient Port à Nantua. La stabilisation de la zone est en cours de procédure pour permettre de dégager la voie et assurer une sécurité totale aux gens qui utilisent cette ligne.
Malgré la mise en place de barrière de protection, d’autres éboulement envisagés
Sur les lieux, des barrières sont installées pour garantir la sécurité des gens. Les rails remplis de bloc de roche bloquent les voies. Cet éboulement impressionnant, c’est produit dans la commune de Nantua dont un autre éboulement aurait été signalé le lendemain 6 mars.
Les faits se sont déroulés dans la matinée. Des blocs de pierre situés dans la montagne se sont décrochés et ont rempli la circulation. Heureusement, les environs étant désert pendant cette partie de la matinée mais cela aurait pu devenir un véritable catastrophe vu le nombre de personnes qui fréquentent cette voie dans les heures de la journée.
La taille massive des roches a arraché plusieurs pieds d’arbres qui se trouvent sur la route départementale 74.
La vigilance avant tout
Les risques qu’un nouvel éboulement se produise ne sont pas minces en vue de la géographie française. Dans cette partie de la région, les ingénieurs ne peuvent pas prédire les chances qu’un nouvel effondrement ne se produise.
Depuis de nombreuse année, cette zone ne faisait pas partie des plus touchées par les mouvements de terrain. En prenant en compte le TGV qui passe par-dessus et le nombre de personnes qui s’y promène tous les week-ends, l’histoire aurait pu être dramatique.
Cette falaise est aussi appelée « Doigt du diable » en raison des roches de deux mètres cubes qui pourraient écraser et menacer des vies. Les forces de l’ordre régional sur place communiquent un avertissement sur le fait de ne pas se rapprocher sur les lieux pour assurer la sécurité.
Le maire de Nantua a évoqué que la vérification des filets de protection se font régulièrement. Tandis que la région montagnarde n’est pas un service de surveillance en particulier.